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Lorsqu’on protège une porte, c’est par la fenêtre que l’indélicat entre. Bon, ceci dit on peut ralentir un peu l’acte indélicat.
Une équérre en acier scellée dans un bloc d’un demi mètre cube devrait être dissuasif. Surtout si il s’agit du hors d’oeuvre 
…. enfin, ce qu’on en dit, hein?!
ENFIN! Le mur du lotissement de Huismes est en phase d’achèvement. Les chapeaux sont coulés il ne reste que les joints à mettre en oeuvre. Il fait encore trop froid pour échapper à un gel catastrophique pour le mortier de jointoiement.
Il va falloir nettoyer le chantier. Un gros travail en perspective…..
On profite des derniers broyages de la saison pour mettre à sécher les broyats de feuillus.
Etalés et retournés, les broyats seront suffisemment sec en juin pour être mis en sacs et vendus.
C’est un excelent combustible naturel our les barbecues ou les cheminées.
La maintenance des espaces dévégétalisé en faveur du « cuivré des marais » bat son plein.
Les marres créées l’été dernier sont déjà colonnisées par les « grenouilles agiles ».
Que viennent de repérer David Greyo du C.P.L.N. et Yoann Guilvard l’encadrant de l’équipe.
Sur les rives de l’Indre le chantier du rouissoir est achevé.
On a extrait les pierres de lest qui servaient aux familles
d’ouvriers à lester les bottes de chanvre rouissantes.
Chaque tas appartenait à une famille.
La Presqu’ile ainsi dégagée sera accessible aux promeneurs et aux pecheurs.
COMMUNIQUE DE PRESSE
Insertion :
Les associations dénoncent le désengagement de l’Etat
Une succession de mesures prises par l’Etat vient compromettre depuis janvier 2008 les efforts réalisés par près de 2 000 associations qui accompagnent plus de 70 000 personnes dans les différents parcours de retour à l’emploi. Depuis plusieurs mois, malgré les nombreux contacts et interpellations de l’ensemble des réseaux de l’Insertion par l’Activité Economique (IAE) avec le Ministère de l’Economie et le Haut Commissariat aux Solidarités Actives, les crédits mobilisés et attribués sont en baisse constante pour l’année 2008. Cela concerne particulièrement le soutien aux contrats aidés qui, dans plusieurs régions, sont déjà menacés. De plus depuis janvier 2008, les contrats d’avenir et d’accompagnement ne sont plus exonérés des cotisations patronales d’accident de travail. Ce qui représente un coût de charge supplémentaire de 2 à 6 % par an en moyenne pour chaque structure.
Pour les structures concernées par ces décisions, il est totalement inacceptable de demander à tous les acteurs de l’insertion de se mobiliser dans le cadre des travaux du Grenelle pour refonder une politique d’insertion cohérente et de diminuer dans le même temps les ressources nécessaires à leur existence.
Quelques exemples en matière d’inégalités territoriales : en région Limousin l’arrêté préfectoral diminue de 15 % à 25 % la base de prise en charge des CAE (Contrat d’Accompagnement vers l’Emploi) pour les adultes et de 10 % pour les jeunes orientés vers les ACI.
En région Pays de Loire, l’arrêté préfectoral décide également que la prise en charge des contrats pour les jeunes suivis dans le cadre du CIVIS sera limitée à 9 mois. Or, nous savons que pour ce type de contrat, une durée de 12 à 24 mois est une durée minimum nécessaire pour garantir une meilleure intégration dans une formation qualifiante ou un emploi.
Des associations qui ont mis des années à se construire et à se professionnaliser risquent de disparaître.
Ces mesures sont en complète contradiction avec les objectifs du Grenelle de l’insertion et nous alertons sur le risque d’augmenter des situations de précarité.
Dépenser plus ! La loi portant financement de la sécurité sociale pour l’année 2008, récemment votée par le parlement, supprime l’exonération Accident du Travail, dont bénéficiaient jusqu’à ce jour les contrats aidés CA (contrat d’avenir) et CAE (contrat d’accompagnement dans l’emploi).
Travailler….Beaucoup moins ! Les chantiers et ateliers d’insertion emploient dans ce cadre les personnes en difficulté qu’ils accueillent. Cette loi aura rapidement un impact financier désastreux sur le fonctionnement des chantiers d’insertion et mettra en péril la majorité d’entre eux dès cette année 2008.
Mais ne pas le faire savoir !
En fin d’année 2007, les réseaux nationaux qui les fédèrent ont interpellé les pouvoirs publics, les cabinets de C. Lagarde et M. Hirsh : mais à ce jour, ils n’ont obtenu aucune réponse.
Difficile d’affirmer que ce chantier touche à sa fin. Mais lorsque
l’on prend la mesure de l’importance de l’ouvrage on comprend mieux les délais.
Plus de 80 mètres de semelle coffrée sur ferraillage puis construction du mur en blocs de ciment aggloméré et enfin doublage en moellons de tuffeau…. Un gros, un très gros tas de moellons… 2890 environ. Tous équarris et calibrés
En ce moment le climat n’est guère clément.
Les blocs sont gelés.
On peut les couper mais pas les monter et bien entendu le jointoiement est proscrit.
Scoop ! Pris sur le vif, le Webmestre se consacre à sa mission première… construire.
Maçon et webmestre, webmestre et maçon…
L’île sur l’Indre qui bordait l’ancien rouissoir à chanvre est en cours de restauration. L’Equipe de Yohann Guilvard a déjà beaucoup progressé dans la dévégétalisation, malgré les sautes d’humeur de la rivière.
Dans un second temps, les pierres qui servaient à lester les bottes de chanvre mises à « rouir » seront extraite du bief
et remises en tas.
Aux petits maux les grands remèdes : Un mur de bois monté en une journée par l’équipe de Jean Marie Fons.
Tout à fait indestructible…
…Et le 30 Janvier démontage du mur de bois ( démontage, car destruction impossible) et pose de la nouvelle porte d’acier équipée d’un anti-bélier efficace ( association avertie en vaut deux !).
Tous les nettoyages sont achevés dans de très bonnes conditions… Retour à la normale.
On en a même profité pour dégager les encombrants accumulés pendant des années et lessiver tout ce qui n’a pas été touché par l’incendie.